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CARACTERISTIQUES DES VARIABLES ALEATOIRES






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PROPRIÉTÉS D’UN ESTIMATEUR



                                                                 

              Propriétés d’un  estimateur


Précisons qu’un estimateur pendant des (Xi )16i6n , il pend  en particulier  de la taille n de l’échantillon. On ne s’étonnera  donc pas que la suite d’estimateurs  (θb)n  soit souvent identifiée à l’estimateur  lui-même. . .



     Convergence d’un estimateur

La première bonne propriété  que l’on peut  attendre d’un estimateur est qu’il s’approche de la vraie valeur de θ quand la taille n de l’échantillon tend vers +.

  Définition   :

Un estimateur θ   b d’un paramètre θ est dit convergent s’il converge en probabilité  vers
θ quand la taille de l’échantillon tend vers +.

Il est peut-être  nécessaire de rappeler ici la définition de la convergence en probabilité  :

Définition   :
Une suite (Zn ) de v.a. converge en probabilité  vers une v.a. Z si

∀ε > 0, N,  ∀n > N, P(|Zn   Z| > ε) 6 ε.


Un  outil  souvent  efficace pour  montrer  la  convergence  en probabilité  est  l’inégalité  de
Bienaymé-Tchebychev :

Proposition   :
Soit X une v.a. admettant un moment d’ordre 2. Alors

ε > 0, P(|X  EX| > ε) Var X/

 ε2     


Le corollaire suivant est quelque peu anticipé,  mais comme il s’agit d’un chapitre  de rap- pels :

Corollaire 0.3.4  :


Un estimateur sans biais dont la variance tend vers zéro est convergent.




  Biais d’un estimateur

Le bon sens impose également que l’estimateur  ne soit, à n fixé, pas trop  loin de la vraie valeur.  On  peut  par  exemple  s’attendre  à  ce que  l’estimateur  ait  sa  loi centrée  sur  le paramètre inconnu.


Définition   :

On dit  qu’un estimateur θb d’un paramètre θ est un estimateur  sans  biais de θ (ou qu’il est non biaisé) si :
Eθb = θ.


De façon plus générale, on définit le biais d’un estimateur :

Définition   :

On appelle biais d’un estimateur θb du paramètre θ la quantité :

B(θb) := Eθb θ.


Il est rassurant de voir qu’un estimateur sans biais a un biais nul. . .

Signalons enfin qu’un estimateur est dit asymptotiquement  sans biais si son biais tend vers
0 lorsque la taille de l’échantillon tend vers +.


     Dispersion d’un estimateur

Il est enfin nécessaire d’évaluer  la précision de l’estimateur,  c’est-à-dire,  dans  l’idéal, la quantité |θb  θ| pour  chaque  estimation  θb. On préfère agir sur l’estimateur  θb, qui étant une variable aléatoire,  amène à regarder une quantité de la forme E|θb  θ|. Travailler  avec des valeurs absolues n’étant pas très pratique,  on préfère généralement utiliser une autre
distance  (tout  comme on travaille  généralement avec la distance  euclidienne dans le plan)


et considérer la quantité E|θb  θ|^2 . veloppant le carré, on observe que  :



(θb θ)^2  =


(θb Eθb)^2 + (Eθb θ)


= (θ Eθb)^2

+ (Eθb θ)^2

+ 2(θb Eθb)(Eθb θ)


Prenant l’espérance de ces quantités, il vient (quels sont les termes aléatoires ?) :


E(θb θ)^2


= E(θb Eθb)^2

+ (Eθb θ)^2


 
+ 2(Eθb Eθb)(Eθb θ) = Var θb + (B(θ))^2   + 0



Ce qui conduit  à la définition :

Définition   :
Soit θb un estimateur de θ. On appelle écart  quadratique  moyen de θb ou risque qua- dratique la quantité :



EQM (θb) := E(θb θ)^2

= Var θb + (B(θ))2 .


Remarquons  que l’écart quadratique moyen d’un estimateur sans biais n’est rien d’autre que sa variance.

Remarque   :

Entre  deux estimateurs d’un paramètre θ, on choisit celui dont  l’écart quadratique est le plus faible.

0.4.  EXEMPLES                                                                                                                       

Définition   :
Un estimateur θb1  est dit relativement  plus efficace qu’un estimateur θb2  si

EQM (θb1) 6 EQM (θb2 ).


Passons à présent aux exemples classiques.


    Exemples

Dans  toute  cette  partie,  on se placera  dans  le cas de n-échantillons  aléatoires  simples : (Xi )16i6n  est une suite de copies indépendantes de X.  (On supposera  le cas échéant que X admet  un moment d’ordre suffisant pour les démonstrations.)


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La tendances et la saisonnalités





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Applications pratiques de la recherche operationelle



Applications pratiques
Les problèmes que la R.O. peut aider à résoudre sont soit stratégiques (on peut citer le choix d'investir ou pas, le choix d'une implantation, le dimensionnement d'une flotte de véhicules ou d'un parc immobilier…) soit opérationnels (notamment l'ordonnancement, la gestion de stock, l'affectation de moyens (humains ou matériels) à des tâches, les prévisions de ventes…).
La gestion de projets est une composante très importante de la communauté de recherche opérationnelle. De nombreux travaux traitent de l'ordonnancement et de la gestion de projets, mais aussi de logistique (tournées de véhicule, conditionnement…), de planification, et de problèmes d'emploi du temps.
Dans le cadre de l'industrie manufacturière, la recherche opérationnelle permet notamment de trouver des plans de productions (ordonnancement de production), de disposer au mieux les machines dans un atelier, de diminuer le gaspillage des matières premières (problèmes de découpe) ou de l'énergie ou bien encore d'optimiser le conditionnement et la livraison des produits intermédiaires ou finis.
Dans le domaine de la finance, les problèmes d'investissement sont des problèmes classiques de recherche opérationnelle. Ils consistent en général à maximiser le profit (ou l'espérance de profit) obtenu à partir d'un montant donné en combinant au mieux les différentes possibilités offertes à l'investisseur.
La recherche opérationnelle a aussi des applications dans le domaine de l'énergie. Elle est couramment utilisée dans l'industrie pétrolière, principalement dans l'établissement des plans de production, l'approvisionnement des bruts, l'utilisation des unités de raffinage, et le choix des canaux de distribution les plus rentables. De même, les opérateurs du Marché de l'électricité font largement appel à la recherche opérationnelle tant pour des problèmes stratégiques (par exemple des investissements sur le réseau) que pour des questions plus opérationnelles (stabilité du réseau, prévisions…). Pour plus de détails, voirPlans d'approvisionnement, de production et de distribution du pétrole
Les applications dans le domaine de l'informatique sont très nombreuses elles aussi. On peut citer, entre autres, le choix de la localisation et du nombre de serveurs à mettre en place, de la capacité de stockage, de la puissance de calcul et du débit du réseau, le choix d'une architecture informatique (application centralisée / distribuée, traitements en temps réel ou en différé, réseau maillé ou en étoile, etc.), et l'ordonnancement dans les systèmes d'exploitation.


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